Quand Jésus nous apprend la meilleure façon de prier.
En vérité, je vous le dis, tout acte d’abandon vrai, confiant et total en moi, produit l’effet que vous désirez et résout les situations épineuses.
S’abandonner à moi ne signifie pas se tourmenter, s’inquiéter et désespérer en m’adressant ensuite une prière agitée pour que j’agisse selon votre souhait ; mais c’est changer l’agitation en prière. S’abandonner signifie fermer calmement les yeux de l’âme, détourner votre esprit de toute tribulation, et s’en remettre à moi pour que moi seul œuvre, en me disant : « Je te confie cela. À toi d’y penser pour moi ».
Ce qui vous perturbe et qui vous cause un mal immense, c’est votre raisonnement, votre pensée, votre obsession, et le fait de vouloir à tout prix résoudre par vous-même ce qui vous afflige.
(...) Priez comme je vous l’ai enseigné dans le Notre Père : « Que ton nom soit sanctifié », c’est-à-dire qu’il soit glorifié dans ce besoin qui est mien ; « Que ton règne vienne », c’est-à-dire que tout ce qui m’arrive concoure à ton règne, en nous et dans le monde ; « Que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel», c’est-à-dire, dispose chaque chose comme tu le souhaites pour notre vie éternelle et temporelle.
Si vous me dites vraiment : « Que ta volonté soit faite », c’est-à-dire « À toi d’y penser pour moi », j’interviens avec toute ma puissance, et je résous les situations les plus fermées. Tu t’aperçois que le malheur presse au lieu de disparaître ? Ne t’agite pas, ferme les yeux et dis-moi avec confiance : « Que ta volonté soit faite. À toi d’y penser pour moi ». (...)
Fais ainsi pour toute nécessité. Faites ainsi, vous tous, et vous verrez de grands, incessants et silencieux miracles. Je vous l’assure par mon amour.
L’acte d’abandon à Jésus de Don Dolindo Ruotolo (1882-1970), tertiaire franciscain
aleteia.org 06/11/2016
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Je pense à tous les martyrs massacrés pour le nom du Christ, depuis saint Étienne jusqu’au père Jacques Hamel. (...) Je sais que le Seigneur mettra sur mes lèvres les paroles nécessaires pour tenir tête à mes adversaires. C’est bien ce qui est arrivé aux apôtres quand ils ont été emprisonnés et conduits devant le sanhédrin, ou à Mère Yvonne-Aimée de Jésus, qui a fait face aux SS quand ceux-ci voulaient forcer la clôture du monastère de Malestroit. Même des enfants comme sainte Bernadette ou les voyants de Fatima, inspirés par l’Esprit-Saint, ont résisté aux autorités civiles qui voulaient les faire mentir. Seigneur, au moment de la persécution, inspire-moi ce que je dois dire ! Je remets entre tes mains toutes mes préoccupations.
Il y a tout un monde invisible à nos yeux, mais vers lequel je marche depuis le jour de mon baptême. C’est dans ce monde surnaturel que tous les cheveux de ma tête seront gardés, c’est là que je gagnerai la vraie vie. En tenant mes yeux fixés sur l’au-delà, je serai capable de relativiser tout ce que cette vie d’ici-bas peut m’offrir. Je verrai que la communion des saints l’emporte sur les liens du sang, et la Parole de Dieu sur la sagesse humaine.
Extrait de la méditation écrite par Frère Benoît Terrenoir, LC
catholique.org 23/11/2016
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Je pense à tous les martyrs massacrés pour le nom du Christ, depuis saint Étienne jusqu’au père Jacques Hamel. (...) Je sais que le Seigneur mettra sur mes lèvres les paroles nécessaires pour tenir tête à mes adversaires. C’est bien ce qui est arrivé aux apôtres quand ils ont été emprisonnés et conduits devant le sanhédrin, ou à Mère Yvonne-Aimée de Jésus, qui a fait face aux SS quand ceux-ci voulaient forcer la clôture du monastère de Malestroit. Même des enfants comme sainte Bernadette ou les voyants de Fatima, inspirés par l’Esprit-Saint, ont résisté aux autorités civiles qui voulaient les faire mentir. Seigneur, au moment de la persécution, inspire-moi ce que je dois dire ! Je remets entre tes mains toutes mes préoccupations.
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catholique.org 23/11/2016
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