(...) l y a quelques jours, Barak Obama, le Président qui voulait, avec François Hollande, envoyer ses troupes en Syrie, s’agenouillait devant le pape pour baiser son anneau. Celui de la paix. Ce moment a été l’immense évènement des derniers jours. On pourra toujours écrire que c’est de la « communication », un tour de passe-passe. Il n’empêche. Ceux qui voulaient en découdre pour en découdre ont été obligés de faire reculer, et de laisser leurs tanks aux garages des casernes.
Quant à nous, simples citoyens, simples croyants, il nous reste à faire ce que François nous a demandé le soir même de son élection : continuer de prier, et de prier pour lui, avec ardeur, pour qu’il réussisse à donner le plus large écho possible à la Bonne Nouvelle, celle qui permettra au monde chargé de tant de violence d’y résister. Et ainsi, démentir le constat de Léon Bloy, son auteur bien-aimé : « Il est remarquable qu’à une époque où l’information méticuleuse est devenue la Sorcière du monde, il ne se rencontre pas un individu pour donner aux hommes des nouvelles de leur Créateur. »
Il est cet individu ! Comme l’a déclaré la joyeuse chanteuse italienne, Cecilia Bartoli :
» Nous avons un pape formidable, audacieux, novateur. Alors que le Vatican a toujours incarné la réaction, c’est l’inverse aujourd’hui. Si seulement les politiques pouvaient suivre cet élan ! »
Eh bien, ils tentent de le faire !
Christiane Rancé: pollen.blo.croire.com, extrait du message Mea Culpa
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