Laurence a été sauvée de la même façon le 15 décembre 2006, à 15 mois |
Le docteur appelé vit aussitôt la gravité du cas et passa toute la nuit avec nous. Je pensais à prier la Sainte Vierge mais n'osais pas. Je l'avais tant blasphémée ! ... car, je faisais partie d'une secte qui interdisait de l'honorer… Mais, peu éclairée, je me demandais où était la vérité.
Je m'adressais à Dieu : "Toi qui as fait le ciel et la terre, je ne connais qu'une prière pour ceux qui vont mourir. C'est le "Je vous salue, Marie". Ai-je tort de prier Celle que les catholiques appellent la Vierge ? Prends pitié, Seigneur !..."Et, revivant en pensée la scène du Calvaire, je compris la douleur de Marie, crucifiée avec son Fils, mais acceptant de le donner pour le salut du monde. Moi, je n'aurais pas donné mon enfant pour sauver une seule vie. Je compris que Marie pleurait pour moi, pour ma petite, pour nous tous et qu'elle intercédait avec la force de ses larmes. (...) Tout à coup, on eut l'impression d'un souffle, d'une présence vivifiante : rien d'extérieur, mais la certitude d'une intervention surnaturelle. La petite reprit conscience et forme humaine; le docteur, ne quittant pas le petit pouls, s'écria : "Miracle ! Miracle ! Elle repart ! La vie reprend !". Dès le début des convulsions, j'avais placé sous la nuque de la petite une statuette de la Vierge miraculeuse La crise était passée. L'enfant arrachée à la mort était en voie de guérison.
J'ai retrouvé le chemin de l'Église catholique et de la vraie foi dans laquelle j'élève mes enfants. J'expérimente le bienfait du chapelet, surtout depuis que je connais les mystères du Rosaire. Il est si puissant pour secourir nos détresses!
Cité par „mariedenazareth.com“, en ligne - (ici extraits)
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