La lecture de l’éditorial du 4 mars « La voix d’Anne Frank » est pour moi une invitation à poursuivre la quête de toujours saisir la lumière, le beau, … même dans les ciels les plus sombres, même quand les événements du jour nous effraient. Merci Loup Besmond de Senneville de nous rappeler ce livre d’Anne Frank. Je vous écris également tant la photo de cette jeune femme de Gaza en une m’a profondément touchée ! Elle illustre de manière tellement délicate l’éditorial et vient faire résonner les mots d’Anne Frank : «…je pense que tout finira par s’arranger, que cette brutalité aura une fin, que le calme et la paix reviendront régner sur le monde. » Sur les ruines, les gravats, cette femme nous regarde et sourit… Je la regarde à mon tour et demeure sans voix, juste silencieuse avec énormément de compassion, d’émotion et de larmes dans les yeux. Cette une du 4 mars entre mes mains, la veille de l’entrée en Carême est pour moi un signe de ce qui m’est donné à vivre, à regarder sur le chemin vers Pâques ! Vos photos sont toujours tellement bien choisies, continuez ce travail de choix, nous avons besoin de cette singularité pour entrer dans l’information avec le cœur et l’esprit perméables et ouverts !
Édith Richard, lectrice de La Croix
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