[Marie] est un modèle d’obéissance pour nous tous. Marie a su s’abandonner complètement dans les mains du Seigneur, elle est celle qui a su accomplir de façon parfaite la volonté de Dieu dans sa vie. Son « fiat » au Seigneur a été inconditionnel, dans la joie de l’Incarnation comme dans la douleur de la Passion. Marie, toi qui as toujours dit « oui » au Seigneur, apprends-nous à faire de même.
Frère Jean-Baptiste Ribes, LC
Extrait de méditation quotidienne 27/01/2015
catholique.org
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Voilà que notre Vierge vient de ta souche, Israël, elle vient de ta progéniture, elle dérive de ta racine, elle dérive de tes générations, et vient de ton peuple, elle vient de ta nation, elle vient de ton origine, elle dérive de ton origine même.
Voilà que notre Vierge vient de ta souche, Israël, elle vient de ta progéniture, elle dérive de ta racine, elle dérive de tes générations, et vient de ton peuple, elle vient de ta nation, elle vient de ton origine, elle dérive de ton origine même.
Elle appartient cependant à notre foi, à notre confession, à notre consentement, à notre respect, à notre dévotion, à notre louange, à notre prédication, à notre célébration, à notre défense, à notre revendication.
Idelfonse de Tolède (607-667)
Marie et les Juifs
www.mariedenazareth.com
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De famille anglicane, M… retenait les préjugés de son milieu contre le culte marial et ne voyait pas comment des Chrétiens pouvaient prier la Vierge Marie. Mais elle aimait chanter ! Elle nous raconte son histoire.
« J’avais une belle voix et prenais des leçons avec un maître italien. Un jour il me fit chanter un Ave Maria de sa composition. C’était une vraie prière à la Vierge et je le chantais de tout mon cœur ; mon esprit et mon imagination étaient touchés : il y a quelque chose de si poétique et de si doux dans le culte de la Sainte Vierge. En fait, la splendeur des rites catholiques m’attirait vers la vérité.
Pourtant mon oncle veillait et me donna quelques livres des plus violents contre la foi et tout spécialement contre la Sainte Vierge. Un de ces livres, en particulier, intitulé ‘Virgin worship’ (Culte de la Vierge) contenait d’horribles blasphèmes contre Marie.
Or dans ce livre, je découvris toutes les antiennes à la sainte Vierge et je les trouvais si belles que je m’en fis une espèce de petit office… Depuis lors, le Salve Regina a toujours été une de mes prières de prédilection. »
Mon Rosaire N° 486 – Juin 1978
Rapporté par Frère Albert Pfleger
Dans Fioretti de la Vierge Marie, Ephèse Diffusion, p. 67
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