(...) Le monde entier n’a été consacré par le
pape en exercice que deux fois : la première fois en pleine seconde guerre
mondiale, le 31 octobre 1942, par Pie XII suppliant Marie « d’arrêter les
débordements du déluge néo-païen » ;
la deuxième fois, par Jean Paul II, le 25 mars 1984 ; soit trois ans après l’attentat du 13 mai 1981 qui faillit lui coûter la vie. (...) L’effondrement, sans effusion de sang, du communisme en Europe de l’est, qui a suivi rapidement cette consécration, avec les conséquences que l’on sait, a été considéré par Jean Paul II lui-même comme le fruit de l’intervention de la Mère de Dieu.
la deuxième fois, par Jean Paul II, le 25 mars 1984 ; soit trois ans après l’attentat du 13 mai 1981 qui faillit lui coûter la vie. (...) L’effondrement, sans effusion de sang, du communisme en Europe de l’est, qui a suivi rapidement cette consécration, avec les conséquences que l’on sait, a été considéré par Jean Paul II lui-même comme le fruit de l’intervention de la Mère de Dieu.
(...)
La consécration du 13 octobre 2013 intervient
dans le contexte très préoccupant de la crise syrienne, derrière laquelle se
cache, ne l’oublions pas, le sort dramatique de la minorité chrétienne de ce
pays. Cette crise qui place l’humanité au bord du gouffre, ne doit pas faire
oublier les autres maux dont souffre l’humanité : pauvreté et précarité, qui ne
touchent plus seulement les pays « pauvres », crise des valeurs dans les pays dit
développés… Plus que jamais, l’humanité
semble avoir besoin de l’intercession de Marie, mère et médiatrice. Une intercession qui pourrait bien passer par
ce geste du 265ème successeur de Pierre.
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