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| La Vierge Marie, by Arcabas, peintre d'art sacré, Isère |
Believing gives a feeling of safety and happiness
Believing makes you stronger
Believing is a way of life.
Let's believe!"
Ma foi, c'est pour moi ma colonne vertébrale, elle me permet de ne pas tomber, elle est le soutien qui me fait me tenir debout.
Certains font du yoga, d'autre de la méditation ou du feng shiu. Moi je fais ma prière!
Je nourris ma foi en allant le plus souvent possible à l'église, ce qui me motive et me donne de l'élan. Être en compagnie de croyants et chanter ensemble m'apporte un sentiment renforcé de bien-être (et même après, le café à la maison semble meilleur!).
Ma foi est le meilleur remède existant; la vie semble plus simple, tout devient relatif, on ne se sent plus jamais seul et on prend plus concrètement conscience de toutes les merveilles de la nature autour de soi.
Je voudrais dire à tout le monde et le crier bien fort: "Écoutez-moi donc, tous, le plus formidable qui puisse vous arriver est de CROIRE!"
Je crois fermement en Dieu, mais il est aussi important de croire en quelque chose, en quelqu'un et d'avoir un idéal. J'ai perdu mon mari il y a onze ans. Il me manque chaque jour un peu plus, cependant je ne coule pas. Mon secret, c'est ma foi! [...]
article paru en néerlandais sur la feuille paroissiale de
Kerkvalk, Valkenswaard-NL, sept. 2008
3 commentaires:
Magnifique texte!
Aimer et être aimé pourraient remplacer le verbe croire: "Deus caritas est".
Merci Dominique de cette contribution.
Je me risque à y ajouter une remarque dans l'optique chrétienne: Ce Dieu Amour (CARITAS) est infini et dépasse donc notre compréhension. C'est là qu'intervient la notion de confiance, de FOI en ses voies qui parfois contredisent nos émotions et impulsions humaines de générosité et d'ouverture (ce que nous appelons amour).
Cette FOI qui vient au secours de notre incompréhension est soutenue par le discernement que nous souffle l'Esprit Saint quand nous le lui demandons. Or l'Esprit Saint est, au moins en sommeil, au coeur de chaque homme.
Merci, si chère Chantal, de me permettre en plaçant ce texte de crier encore plus fort sur une superficie encore plus grande ce que je trouve personnellement indispensable.
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