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| Photo "Panorama", mensuel chrétien de spiritualité |
Dans la communauté de Rome se trouvaient des "faibles" et des "forts": ceux qui s'en tenaient scrupuleusement à certains préceptes concernant la table et qui sélectionnaient certains jours pour leurs exercices de piété; et il y avait les autres, ceux qui en étaient complètement détachés. L'apôtre Paul rappelle aux uns comme aux autres ce qui les unit: "nous appartenons tous au Seigneur." Le Seigneur, c'est le Christ, mort et vivant pour tous. Il est mort pour les faibles comme pour les forts, non pas pour les amalgamer, mais pour les rendre libres. Il doit y avoir assez de place dans la communauté pour différentes interprétations et divers modes de vie; le principe fondamental, c'est l'amour, c'est en fin de compte la seule chose incontournable; c'est là-dessus que nous serons jugés, non par les hommes mais par Dieu lui-même. C'est à lui que le jugement incombe. Mais pour les croyants ce qui compte c'est de s'accepter et de se supporter mutuellement.
Cf.: Romains 14, 7-12
In "Schottmessbuch", diocèses de Bâle, Freiburg i.B. et Vienne
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Qu'avons-nous à apprendre? À être doux et humbles (Mt 11,29); si nous le devenons, nous apprendrons à prier; et l'apprenant, nous appartiendrons à Jésus; et lui appartenant, nous apprendrons à croire; et croyant, nous apprendrons à aimer; et aimant, nous apprendrons à servir.
Mère Teresa de Calcutta, 1910-1997
in "No greater Love", en ligne
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